• Titre : Cadavre X
    Auteur : Patricia Cornwell

    Présentation de l'éditeur :

    Un cadavre décomposé est retrouvé à bord d’un cargo belge faisant étape à Richmond. Malgré une autopsie minutieuse, Kay Scarpetta ne parvient à déterminer ni l’identité du mort ni les causes du décès. Seul indices : un tatouage et des poils blonds. Encore hantée par la mort de Benton (Combustion), en butte aux intriques de collègues rivaux, Kay flanqué de son fidèle Marino, et toujours proche de Lucy, sa nièce, se lance dans une enquête qui le mènera en France, des bureaux lyonnais d’Interpol à la morgue de Paris, avant de la ramener en Virginie où l’attend un tueur monstrueux, le Loup-garou. Le douzième best-seller depuis PostMortem de la star internationale du crime.
    "Sans doute le plus noir et le meilleur des romans de Cornwell.". The Guardian

    Mes Impressions :

    Presque 500 pages et je l'ai littéralement dévoré en moins d'une soirée!
    Le seul petit bémol que je mets est un reproche que je ne peux qu'adresser à moi-même, ayant lu cet opus qui est très éloigné dans la chronologie des deux premiers, et de Mordoc, que j'avais lu il y a quelques années avant de relire Post-Mortem et Mémoires Mortes. J'ai donc été un peu perdue face à certains évènements du passé dont il est encore question ici , qui n'ont guère d'incidence sur l'enquête en question mais bien sur le comportement et la personnalité de nos protagonistes. Cela ne m'a guère gênée dans le fil conducteur de l'histoire de Cadavre X, mais m'a par contre fortement donné l'envie de reprendre toute la série depuis le début.
    Bref, les mots et impressions de quelques autres lecteurs que je partage, histoire d'illustrer tout cela :

    "Ce qui donne aux romans de Patricia Cornwell toute leur splendeur sont les personnages principaux, à savoir Kay Scarpetta, Pete Marino et Lucy Farinelli. Tout est en fait basé sur les personnages, les intrigues policières sont bien sûr intéressantes, mais aucun auteur "policier" n'était jamais parvenu à donner vie à des personnages aussi attachants. Lire Patricia Cornwell c'est suivre une enquête policière toujours palpitante mais c'est surtout passer un moment avec trois héros. La lecture une fois terminée, on est presque déçu de ne pas pouvoir aller boire une bière avec Pete Marino et ses acolytes... Eh oui c'est de la fiction. Mais quelle fiction!"

    "Cadavre X est selon moi un des meilleurs livres de la série Kay Scarpetta, on retrouve toutes les ficelles de la patte Cornwell, une très bonne intrigue, l'enquête sur un cadavre en décomposition avancée retrouvé dans un cargo belge et évidemment, tous les personnages que l'on adore retrouver, à savoir lucy et surtout marino qui, avec son ton décalé et ses répliques assassines, donne un coup de souffle à l'histoire.

    Ce roman m'a particulièrement tenu en haleine car Scarpetta sent que beaucoup de nouveaux personnages lui sont hostiles et qu'ils vont faire tout ce qui est en leur pouvoir pour la déstabiliser: on vit pleinement cette angoisse et la traque est permanente et crescendo, jusqu'ou dénoument ou l'on ressent carrément la peur lorsque notre chère Kay doit mettre un point final à l'histoire. Petit bémol, la fin est un peu rapide mais c'est une habitude chez Cornwell, pour ceux qui en veulent toujours plus, sautez sur la suite, "Dossier Benton", qui reprend environ quelques heures plus tard. A savourer... ".


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  • Titre : Mémoires Mortes
    Auteur : Patricia Cornwell

    Présentation de l'éditeur :

    Beryl Madison, romancière à succès, a fui l'homme qui la harcèle depuis des mois pour se terrer à Key West. Le manque d'argent la contraint à rentrer à Richmond, le temps qui lui est nécessaire pour vendre sa maison. Juste assez de temps pour ouvrir sa porte, juste assez de temps pour se faire violer et égorger. Kay Scarpetta est perturbée : des témoignages incohérents, des rencontres déplaisantes troublent ses recherches.
    Pourquoi Beryl Madison a-t-elle laissé entrer son meurtrier ? La jeune femme, auteur à succès, s'est plainte pendant des mois de mystérieuses menaces téléphoniques, d'un inconnu qui la surveillait…
    Terrifiée, elle est même partie se réfugier en Floride pour écrire…
    Alors pourquoi, à peine descendue de l'avion qui la ramène chez elle, a-t-elle ouvert la porte à celui qui l'a lardée de coups de couteau ?. Pourquoi a-t-elle débranché l'alarme ? Pourquoi ne s'est-elle pas servie de l'automatique qu'elle transportait toujours avec elle et qui est demeuré sur la table de la cuisine ?
    Autant de questions sans réponse pour le lieutenant Marino et le Dr Kay Scarpetta, médecin expert de l'Etat de Virginie…
    Au fond, elle le sait, ni son ancien amant, qui resurgit sous un bien piètre prétexte, ni cet homme de main qu'elle surprend fouillant dans les bureaux de la morgue, ne la mettront sur la bonne piste. En revanche, cette multitude de fibres étranges qu'elle découvre sur le corps ensanglanté de Beryl est cruciale. Des fibres si inhabituelles qu'elle aura du mal à percer leur mystère, mais Kay Scarpetta s'emploie à les faire parler.
    "Patricia Cornwell nous confronte, avec la sobriété et le savoir-faire d'une praticienne de médecine légale, aux savants détours de la mentalité criminelle…
    Son héroïne est le témoin sérieux, nullement sophistiqué, mais implacable, de la folie meurtrière made in U.S.A."
    François Rivière. Libération

    Mes Impressions :

    J'emprunte ici les mots d'une autre, car elle a très bien exprimé ce que je n'aurai su dire. En comparaison avec le premier, j'ai été quelque peu déçue par ce deuxième opus, que j'ai malgré tout dévoré.

    "C'est un livre qui se lit d'une traite avec une excellente intrigue, on ne comprend vraiment qu'en toute fin en même temps que les personnages. Les rebondissements sont multiples et à la hauteur du précédent livre, Post-mortem. Mais je déplore une fin qui fait forcément penser à ce même livre, sur deux livres de suite c'est un peu gros je trouve? Cela dit le livre ne doit pas être jugé sur ce seul point!

    Du côté des personnages, on découvre un Benton Wesley un peu distant mais sans explication; peut-être à cause de Mark James ou des doutes qui pèsent sur la morgue, la réponse au prochain numéro peut-être? En revanche on retrouve Kay inchangée. Ce qui lui est arrivé un an auparavant n'a rien changé à sa volonté de tout faire pour venger les victimes de meurtres qu'elle autopsie, allant jusqu'à s'identifier à elles. En revanche, elle semble plus compréhensive envers Marino et son caractère de cochon, et nous aussi d'ailleurs. On se rend compte petit à petit que derrière des travers un peu bourrus, il a une réelle histoire même si on ne la connait pas encore tout à fait." La Bulle à Livres


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  • Titre : Post Mortem
    Auteur : Patricia Cornwell


    Présentation de l'éditeur :

    Ça y est. Le tueur a de nouveau frappé... Une jeune femme d'une trentaine d'années, cette fois. La quatrième en deux mois. Une noire et trois blanches. Etranglées. Violées. La ville de Richmond a l'habitude du meurtre. Elle se classe deuxième, aux Etats-Unis, pour son taux de criminalité. Mais il s'agit généralement de règlements de comptes, pas de crimes sexuels de ce genre... Un " serial killer " ? Un échappé d'un asile ou d'une prison qui frappe au hasard ? Le Dr Kay Scarpetta n'en croit rien. Elle a sa petite idée. Et le temps presse. Hélas, quand on est femme et médecin légiste, la vie n'est pas facile. On cherche plus souvent à vous mettre des bâtons dans les roues et des espions dans l'ordinateur qu'à vous faciliter la tâche... Un thriller haletant, coup d'essai et coup de maître pour ce jeune auteur américain qui occupe depuis le premier rang mondial. Prix du Roman d'Aventures 1992.

    Mes Impressions :

    Post-mortem est le premier d'une longue série...car les romans de Patricia Cornwell sont chronologiques, cela nous permet de vivre au milieu de ses personnages, et c'est cela qui nous rend accroc...
    Post mortem parle bien sûr d'une enquête de la police et du laboratoire de médecine légale où travaille Kay Scarpetta, l'héroïne des romans de P.Cornwell, pour arrêter un serial-killer qui s'attaque à des femmes seules.
    C'est votre premier pas dans l'univers de Kay, personnage attachant à la personnalité complexe, vous allez faire connaissance avec Lucy, sa nièce, Marino, un excellent flic mais au caractère difficile, et d'autres personnages récurrents.Tous des personnages qu'on a hâte de retrouver. Les détails des autopsies sont très réalistes mais ne sont jamais traités sur un mode morbide ou irrespectueux. Au contraire car Kay Scarpetta est là pour écouter ce que les morts ont à lui dire.
    Une petite citation, tirée par contre de "Cadavre X", mais qui illustre bien mes propos et atteste à la fois de la formidable personnalité du docteur Kay mais aussi du talent de son auteur.
    "Cet endroit, bardé d'inox, n'avait d'autres couleurs que celles de la mort. Les contusions, les ecchymoses étaient bleues et violettes, la lividité cadavérique se nuançait de rose. Le sang laquait de rouge sombre le jaune blanchâtre des tissus adipeux. Les cages thoraciques s'ouvraient comme des fleurs, les organes attendaient sur des balances et des paillasses. Ce jour là, l'odeur de la mort était suffocante.".

    Je n'ai malheureusement pas lu toute la série, et surtout, à part les deux premiers, j'en ai ensuite lu deux autres pris au hasard, et je regrette de n'avoir pas respecté l'ordre chronologique, car même si l'on s'y retrouve quoiqu'il en soit, on rencontre alors des éléments qui ont fait évolué Kay et les autres sans nous, et que l'on aurait voulu partager avec eux au moment opportun.
    En tous cas, cette série de Patricia Cornwell est très bien écrite, et j'ai dévoré chacun des opus que j'ai lu, en une seule soirée, haletante, et totalement happée.

    Lully. ©


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  • Alessandro Baricco


    Nationalité : Italienne
    Naissance : 28 janvier 1958 à Turin
    Âge : 51 ans
    Profession : Écrivain.


    [...]« combien ce serait beau si, pour chaque mer qui nous attend, il y avait un fleuve pour nous. Et quelqu'un - un père, un amour, quelqu'un - capable de nous prendre par la main et de trouver ce fleuve - l'imaginer, l'inventer - et nous poser dans son courant, avec la légèreté de ce seul mot, Adieu. ».
    (Océan Mer, trad. Françoise Brun)


    Romancier et musicologue, Alessandro Baricco est un des écrivains vivants les plus connus et appréciés en Italie.
    Après avoir étudié la philosophie et la musique, il travaille comme rédacteur dans une agence de publicité puis devient critique musical et éditorialiste pour les quotidiens
    La Repubblica et La Stampa.
    Son premier roman, Châteaux de la colère, publié en 1991 en Italie, connaît un grand succès critique et public, recevant le prix Médicis
    étranger en 1995. Il devient particulièrement populaire après la sortie de son deuxième roman, Océan mer, si bien qu’on lui propose d’animer une émission littéraire, qui fera de lui une figure familière de toute l’Italie.
    Ses romans sont imprégnés de sa passion pour la musique, notamment Novecento : Pianiste, adapté par la suite au théâtre,
    puis au cinéma (
    La légende du pianiste sur l'océan). Il a également écrit un ouvrage sur l'art de la fugue chez Gioacchino Rossini et un essai, L'Âme de Hegel et les Vaches du Wisconsin où il fustige l'anti-modernité de la musique atonale.
    En 1994, il fonde avec des amis la Scuola Holden - ainsi nommée en hommage à un personnage de J.D. Salinger -, une école d’écriture, où il enseigne les
    techniques de la narration. Il est devenu en quelques années
    un des écrivains majeurs de sa génération.

    Passionné et diplômé en musique, Alessandro Baricco invente un style qui mélange la littérature, la déconstruction narrative et une présence musicale qui rythme le texte comme une partition. Sa traductrice, Françoise Brun, écrit, à propos de
    son style : « Mais ce qui n'appartient qu'à lui, c'est l'étonnant mariage entre la jubilation de l'écriture, la joie d'être au monde et de le chanter, et le sentiment prégnant d'une fatalité, d'un destin. »


    Sources : Fluctuat.net ; Wikipédia



    Bibliographie :

    • « Châteaux de la colère », 1995. (Lu)

    • « Soie », 1997. (Lu)

    • « Océan Mer », 1998. (Lu)

    • « L'âme de Hegel et les vaches du Wisconsin », Essai, 1998.

    • « Constellations :Mozart,Rossini,Benjamin,Adorno, Essai, 1999.

    • « City », 2001.

    • « Novecento : Pianiste », 2001.

    • « Next : petit livre sur la globalisation et sur le monde qui vient », Essai, 2002.

    • « Sans Sang », 2003.

    • « Homère, Iliade », Réécriture, 2006.


    Impressions :

    J'empreinte ici les mots d'autres lecteurs, qui ont su exprimer parfaitement ce que je ressens à la lecture de cet auteur, que je considère, d'ailleurs, comme MON véritable favori. Pour l'épreuve écrite du bac L, j'avais eu la chance d'avoir parmi les choix
    un sujet d'imagination qui était d'écrire à un auteur contemporain que l'on aime, toute son admiration. J'avais bien entendu choisi Baricco, et ma « lettre » m'avait valu un joli 16/20 ! J'avais simplement écrit avec la plus grande sincérité, alors que je le découvrais depuis peu. Si je retrouve cet écrit, je vous le ferai partager. En attendant, voici ceux d'autres passionnés, que je
    partage entièrement.



    « Lire Alessandro Barricco ne peut être décrit simplement. Un mélange de tout, des choses qui semblent réelles, plausibles, des trucs fous à lier qui pourtant nous captivent
    page après page, ligne après ligne. On pourrait le croire dément, puisque la logique qui généralement guide les bouquins explose dans un univers érodé de couleurs, de rimes, de musique, de mots qui dansent au rythme de l'auteur ou, ce qui est plus magique encore, du nôtre. Ce que cet homme a réussi à faire, sans peut-être s'y attendre, c'est de rendre l'absurde crédible, le réel absurde, dans une poésie et dans des histoires sans queue ni tête qui pourtant nous extasient à la fin, et durant tout le long. Écrire comme lui n'est pas donné à
    tout le monde ... ».

    « Baricco et ses romans, c'est une trouvaille par ligne, un poème par page et du rêve transversal. Baricco c'est s'enfuir, loin, et
    découvrir un univers dans lequel on a l'illusion de se fondre, en spectateur privilégié. Baricco, c'est ouvrir un bouquin au hasard, lire quelques mots, puis secouer un peu la tête en se disant. "waow... j'aurais aimé écrire ça..." ».

    Bref, si ce n'est déjà fait, je vous conseille de vous ruer
    dans votre librairie ou bibliothèque favorite, et d'aller quérir ces formidables œuvres. Pour ma part, j'attends avec impatience de pouvoir m'offrir sa complète bibliographie!



    Lully.
    ©

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  • Ici sera un petit coin de calme et de tranquillité.

    J'essaierai, au gré du temps, d'emplir peu à peu cette rubrique afin d'en faire une riche bibliothèque, toute d'éclectisme revêtue, et de rêves en pages, mots et lettres son contenu.

    Vous pourrez alors vous installer, paisiblement, en imaginant que vous êtes au coin de l'âtre, à parcourir les rayons d'une petite bibliothèque dans laquelle vous n'aurez plus qu'à vous servir, à votre gré.


    Afin que vous sachiez un minimum ce que vous risquez d' y trouver, ne vous attendez à rien ! Ou plutôt, à tout . :)


    Un petit coup d'œil sur mes coups de cœur livresques et mes auteurs , de tout temps, favoris, s'impose, mais sachez que je ne partagerai ici que mes lectures récentes, ou relectures, car, bien qu'un livre nous ait marqué, il est parfois difficile d'en discuter longuement après.



    Œuvres :


    - « L'Ombre du Vent » de Carlos Ruis Zafon

    • « Une Adoration » « L'Empreinte de l'Ange »
      « Cantique des plaines » de Nancy Huston

    • « Oceano Mare » (LE livre qui a changé
      ma vie et m'a le plus touchée), « Soie »,
      « Châteaux de la colère » d'Alessandro Baricco

    • « Fils de dragon » de Pearl Buck

    • « Les liaisons dangereuses » de Laclos

    • « Le Seigneur des Anneaux » « Les aventures de Tom Bombadil »

      du Grand Tolkien

    • « La Tapisserie de Fionavar » de Guy Gavriel Kay

    • « Tristesse et Beauté » « Les Belles Endormies »
      « La Beauté tôt vouée à se défaire » de Yasunari Kawabata

    • « Le Grand Nulle Part » « Ma Part d'Ombre » de James Ellroy

    • « Les chants de Maldoror » de Lautréamont

    • « Hygiène de l'assassin » d'Amélie Nothomb

    • « Le Parfum » de Suskïnd

    • « Nadja » d'André Breton

    • « Perceval ou le conte du Graal » de Chrétien de Troyes

    • « L'Enchanteur » de Barjavel

    • « Caligula » d'Albert Camus

    • « Les Fourberies de Scapin » de Molière

    • « Les Lettres Persanes » de Montesquieu

    • La Saga « Harry Potter » de J.K Rowling

    • « Une prière pour Owen » de John Irving

    • « L'Art de la guerre » de Sun Tzu

    • « Tao-Te-King » de Lao Zi (Lao-Tseu)

    • « Le Portrait de Dorian Gray » d'Oscar Wilde

    • « Je l'aimais » « Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part » d'Anna Gavalda

    • « Toi, Ma Nuit » de Jacques Sternberg ...


    Auteurs :


    Alessandro Baricco, Tolkien, Nancy Huston, Yasunari Kawabata, Edgar Allan Poe, James Ellroy, Baudelaire, Rimbaud, Aragon, David Eddings, Weis & Hickman, Roger Zelazny, Boris Vian, Sartre, Molière, Chrétien
    de Troyes, Zola, Oscar Wilde ...
    (Et j'ai toujours rêvé de lire Kundera, et Shakespeare, sans
    l'avoir encore fait.).


    Préférences Littéraires :


    Comme peuvent en témoigner mes coups de cœur, je suis assez éclectique dans mes choix de lectures. En fait, pour être précise, j'ai justement tendance à fonctionner au coup de cœur : un titre, une page
    de couv' peuvent être déclencheurs au même titre qu'une quatrième de couv', une discussion à propos d'un livre, d'un thème ...

    J'avoue avoir une prédilection et une sensibilité certaine pour des styles d'écriture, des plumes, qui manient l'onirisme, le surréalisme et
    l'émotion d'une main de maître, mais cela peut se trouver aussi bien au cœur d'un ouvrage de fantasy qu'au creux d'une autobiographie. C'est donc plus à la plume de l'auteur que je vais m'attacher plutôt qu'à un genre spécifique.
    J'adore aussi les plumes sombres et cyniques, teintées
    d'humeur noire (je voulais dire humour, lapsus révélateur
    Wink ), de misanthropie, sachant manier la vulgarité telle un
    art, et offrant des œuvres souvent acides et criantes de vérité.
    J'aime aussi les ouvrages occultes, tels les textes sacrés
    indiens (Bhagavad Gita , Bardo Thödol), mais aussi des ouvrages
    moins sérieux tels le Grand et le Petit Albert, ou encore La
    Poule Noire...



    Voilà!

    Vous en savez un peu plus quant à mes goûts personnels.

    Je vais dores et déjà vous faire partager les fiches critiques que j'ai réalisé sur Epopée Littéraire concernant mes récentes lectures, et j'en ajouterai de nouvelles au fur et à mesure.

    J'essaierai aussi de vous tenir au courant de mes lectures en cours et à venir, au fil du temps.


    Bien à vous,


    Lully.


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